Les avis et expériences des auteurs sur nos ateliers d’écriture
Je ne redoute plus la page blanche, je me laisse domestiquer par les mots
« J’arrive à l’atelier avec impatience. C’est parti, je glisse sur le toboggan littéraire. Les mots se bousculent. J’en pose un qui en appelle d’autres. Un récit s’esquisse. Après la bousculade, les mots se choisissent et se racontent. La page blanche se colore d’une histoire. Une heure passe. Il est temps d’interrompre le voyage et de lire mon texte. Joëlle Guillais fait un retour chirurgical de mon texte. Elle en relève les effets remarquables et dans la même bienveillance, pointe du doigt les clichés, le superflu, les tournures scolaires, le style trop XIXeme… Je n’en perds pas une miette. Je ne redoute plus la page blanche, je me laisse domestiquer par les mots. »
Avant j’écrivais pour moi. Maintenant, j’écris pour des lecteurs.
« Les ateliers de la Maison de l’Écriture et moi, c’est une longue histoire : 7 ou 8 ans, je ne sais plus. C’est aussi une rencontre improbable entre un ingénieur formaté par les process et une auteure imprévisible. Bref, pour moi, c’est exactement ce qu’il me fallait, ce qui me manquait et dont je n’avais pas conscience. Avant j’écrivais pour moi. Maintenant, j’écris pour des lecteurs et je suis même allé jusqu’à éditer un livre en 2015, « Errances », aux Editions du Panthéon. En résumé, Joëlle a réussi à me déformater, et je lui en sais gré. »
Une dynamique de groupe enrichissante
« J’ai intégré les ateliers d’écriture de la Maison de l’Écriture et j’y ai trouvé un espace de convivialité et d’humour, de rigueur et de tolérance ainsi que le plaisir de poser des mots sur une feuille. Et, « cerise sur le gâteau », une dynamique de groupe enrichissante dont les interactions permettent des retours critiques sans jugements de valeur et une réelle progression de l’écrit. L’expérience de romancière de Joëlle Guillais, son écoute attentive et ses observations m’ont permis d’avancer dans un travail autobiographique que j’ai commencé il y a plusieurs années et qui parfois, me paraissait insurmontable. »
J’y ai appris à resserrer la plume
« J’ai fréquenté la Maison de l’Écriture pendant trois ans. La première fois que j’y ai mis les pieds, j’avais 17 ans. Ado, je noircissais des feuilles de pensées comme on fait parfois à cet âge-là mais je n’avais jamais vraiment écrit de textes structurés, d’histoires disons. La première chose que j’ai apprise à l’atelier, c’est la structure. J’y ai appris à resserrer la plume. Le fait d’avoir un temps limité devant soi aide à dompter les idées et à écumer ce qui nous passe par la tête. J’avais l’impression de donner le meilleur de moi-même en écrivant. Ce perfectionnisme auquel je m’astreignais alors a survécu longtemps à l’atelier. Mais astreinte ne veut pas du tout dire obligation. À l’atelier, tout le monde est libre d’écrire ce qu’il veut. »
Joëlle Guillais propose, parfois elle ne fait que suggérer une idée, une image, une situation. Elle laisse du terrain, tout le terrain, à l’imagination et ça donne lieu à des textes inoubliables. Dix ans plus tard, quelques-uns résonnent encore à mon oreille.
Je suis très reconnaissante à Joëlle, à la Maison de l’Écriture, et aux personnes que j’y ai rencontré car sans cette fenêtre de partage et d’expérimentation, je n’aurais sans doute jamais écrit puis publié mon premier roman. »
J’ai atteint mon (premier) objectif : être édité
« J’ai participé et travaillé six années aux ateliers d’écriture de la Maison éponyme. Style, méthode, recherche de l’inspiration, chasse aux ‘scories’ : j’y ai tout appris. En y associant beaucoup de travail individuel j’ai atteint mon (premier) objectif : être édité. Je ne saurais mieux conclure qu’avec la dédicace de mon premier livre, paru en 2020 : ‘A Joëlle Guillais qui m’a guidé avec bienveillance, mais sans complaisance, sur les chemins de l’écriture au fil des séances de son atelier.' »
Un profond soutien, qui a ancré mon désir d’écrire sur le long terme
« Les ateliers d’écriture en ligne m’ont permis de me laisser aller sur le chemin de l’imaginaire, de jouer avec les mots et de découvrir de nouveaux territoires d’écriture. La justesse et l’implication de Joëlle Guillais m’ont apporté un profond soutien, qui a ancré mon désir d’écrire sur le long terme. »
Oser pousser les portes, oser s’aventurer
« C’est avec plaisir que je vous fais part de mes ressentis concernant nos ateliers, je pense que vous l’aviez compris si j’ai renouvelé autant de fois c’est que j’y ai trouvé un intérêt tout en y trouvant un réel plaisir de créer, d’aller explorer mes mondes qui n’attendaient que ça qu’on leur ouvre leurs portes.
Il nous faut parfois oser pousser les portes, oser s’aventurer pour se rendre compte que nous sommes capables d’évoluer. Mon écriture, ma manière de concevoir l’écriture a évolué avec vos ateliers et j’ai senti que je progressais et pour cela je vous en remercie. On respire, on prend le temps de se connecter à soi-même et de mettre le monde réel en pause pour ouvrir la porte des autres mondes. En tout cas pour moi, ça fonctionne très bien !
Je me suis parfois rendue compte qu’un simple mot (vos thèmes) ou une simple phrase pouvait éveiller en moi tellement de choses, et donc je pense continuer à écrire des histoires courtes peut-être grâce à certains oracles en tirant une, deux ou trois cartes suffiraient à m’inspirer.
Le fait d’avoir un retour était une grande première pour moi, même d’être lue et je dois avouer que cela est enrichissant. »
Les retours sont toujours très constructifs
« J’ai suivi quelques années avec joie les ateliers de la Maison de l’Écriture menés par Joëlle Guillais. J’y ai aimé l’exigence, les retours toujours très constructifs, l’émulation collective, la bonne humeur, les propositions créatives. Mon écriture a mûri, s’est affirmée au fil des ateliers, tout en gardant son essence personnelle. La Maison de l’Écriture est une véritable « accoucheuse » d’écrivains, quelque soit l’objectif attendu. »
J’ai appris que je ne pouvais pas « rater un texte »
« Je pense qu’aujourd’hui j’ai appris avec les ateliers de la Maison de l’Écriture que je ne pouvais pas « rater un texte », mais que simplement chaque texte est un chantier qui nécessite qu’on y revienne et qu’on y travaille encore, exactement comme un dessin. Ou un texte peut aussi être simplement une esquisse, ou une description qui fera plus tard partie d’un tout. Ou bien faire partie d’une série dont on choisira à la fin le meilleur cru. Voilà c’est cela que m’ont apporté les ateliers comprendre qu’on ne peut ni rater ni réussir, mais simplement travailler et s’améliorer en se fondant sur ce que l’on a déjà fait. »
Un accueil sans jugement de mes textes, et des commentaires argumentés
« La chose la plus importante pour moi était de m’autoriser à écrire. J’y ai été aidé par un accueil sans jugement de mes textes, et des commentaires argumentés. Par ailleurs, j’ai eu un grand plaisir à découvrir dans les textes des autres des sensibilités différentes, d’autres points de vue, d’autres façons d’écrire qui m’ont encouragé à être plus audacieux et plus libre. C’est finalement une rencontre de soi et des autres qui vaut le coup d’être tentée. »
J’ai pu écrire mon premier livre publié par un éditeur et le 3è sera publié cet hiver
»J’avais à la fois envie et peur d’écrire, de me dévoiler à voix haute, lorsque j’ai vu que la Maison de l’Écriture proposait un stage de 2 jours. J’y suis allée au petit bonheur la chance et ma rencontre avec Joëlle Guillais a été une chance. J’ai beaucoup aimé la fantaisie de la pièce où l’on écrivait, l’accueil de Joëlle Guillais, sa façon attentive qu’elle avait de nous pousser à sortir de nos silences. Je suis restée 3 ans à son atelier. J’ai pu écrire mon premier livre publié par un éditeur et le 3è sera publié cet hiver. »
Les thèmes nous emmènent souvent là où l’on ne s’attend pas
« Ce que j’ai aimé le plus dans les ateliers, c’est la grande ouverture des thèmes. Loin d’être figés, les thématiques sont au contraire, ouvertes et très vivantes. Si ouvertes qu’elles nous emmènent souvent là où l’on ne s’attend pas. La présence des autres auteurs, la lecture des écrits dans une convivialité respectueuse et la découverte de tant de textes différents sur un même thème. Ce qu’ils m’ont apporté ? Avant tout le fait de constater que je suis en capacité d’écrire quelque chose, ce qui n’était pas évident pour moi. »
Ca m’a donné envie d’écrire encore plus
« J’ai apprécié le format de l’atelier et la liberté de rédaction du genre du texte : j’ai apprécié que ça ne soit pas scolaire mais plutôt trouver sa créativité et son style. C’était ma première expérience d’atelier d’écriture et ça m’a donné envie d’écrire encore plus. »
Un havre de paix littéraire
Une expérience qui compte et se raconte!
« Une expérience qui compte et se raconte. J’ai choisi les ateliers de la Maison de l’Écriture par la promesse d’être écoutée sans être jugée ni corrigée. J’ai poussé la porte un soir et étais accueillie à bras ouverts. Joëlle Guillais est une femme libre qui m’a entraînée dans les champs de la création, qui m’a aidée à me libérer et surtout à m’amuser. Grâce à l’énergie du groupe, à sa diversité et aux thèmes proposés, je me suis sentie à mon tour puissante, pleine d’envie de raconter des histoires, de créer des mondes possibles, je suis devenue une déesse! Tous les mots étaient permis ainsi que tous les mondes, personnages, ressentis. Enfin, je pouvais tout faire, tout être, tout penser. Merci pour cette expérience unique et tellement riche. Je ne suis plus jamais seule. »
Je n’aurais jamais osé!
« L’expérience que j’ai vécue grâce à la Maison de l’Écriture au long de vos ateliers en ligne a généré en moi des sensations encore intactes aujourd’hui. Vous avez encouragé mon désir d’écrire en annonçant « je serai bienveillante mais sans concession », ces deux mots m’ont convaincue, je me suis lancée. Alors que j’avais une confiance en moi très limitée, elle est allée grandissante au fil des ateliers. Je n’aurais jamais osé! »
C’est une chance de vous avoir rencontrée
« Depuis que j’ai débuté les ateliers de la Maison de l’Écriture, j’ai l’impression que j’ose pousser la porte de la spontanéité, je ne m’imagine aucun regard inquisiteur derrière ma plume et je pense que ça libère quelque chose. Merci pour cette ouverture inattendue, j’ai décidément bien fait de concrétiser ce projet et c’est une chance de vous avoir rencontrée. »
Les retours sur mes textes m’encouragent
» Je participe un dimanche à un atelier d’écriture et je suis tout de suite embarquée par la façon de nous faire jouer avec les mots, les associations d’idées. Je mords immédiatement à l’hameçon des thèmes lancés sous la forme de notes vocales, d’images, de tableaux, de mots. Mon expérience d’écriture est alors addictive, j’écris de manière libératrice presque automatique dans le silence du confinement. Les retours sur mes textes m’encouragent, le partage de nos écrits entre stagiaires me stimule. »
Convoquer des mots parfois inédits, toujours avec poésie et délicatesse
« Les ateliers de la Maison de l’Écriture nous emmènent vers notre liberté, notre sauvagerie. Elle nous permet de convoquer des mots parfois inédits, toujours avec poésie et délicatesse. La bienveillance et l’énergie du groupe sont une force, écrire n’est plus un exercice solitaire. J’ai découvert la joie et l’inspiration collective! »
Les ateliers sont […] sont hautement préparés ! Le timing, la technique, les sujets…
» Assez méfiante en général sur les ateliers d’écriture (j’avais eu une mauvaise expérience d’un atelier à distance) c’est une amie à moi qui m’a fait découvrir les ateliers de la Maison de l’Écriture. Et ce fut une vraie découverte ! Les ateliers sont conviviaux et décontractés mais ne vous y trompez pas ils sont aussi hautement préparés ! Le timing, la technique, les sujets… Sûrement une partie de leur qualité. Mais pas que. Joëlle Guillais a l’art de nous détendre, d’affûter notre créativité pour mieux nous conduire à nous dépasser. C’est une pépiniériste qui observe ses jeunes pousses attentivement pour bien comprendre ce dont elles ont besoin pour mieux les aider à grandir. J’en suis à mon 6éme atelier et je continue avec un plaisir toujours renouvelé. «
L’impression d’avoir changé en sortant de ton atelier
« Je tiens à te remercier la Maison de l’Écriture pour le moment fort que l’on a vécu. Je ne pense toujours pas avoir digéré ce qui est arrivé. J’ai vraiment été traversé d’une expérience que je n’oublierai jamais, emplie de bienveillance et de créativité. J’avais l’impression d’avoir changé en sortant de l’atelier. »
J’ai pu relever mon premier défi grâce à vous
« Avec votre atelier, c’est la première fois que je produis des textes terminés, et surtout que je les fais lire. J’ai pu relever mon premier défi grâce à vous. Je crois que je me découvre une envie d’écrire plus grande que prévu. Et commencent à poindre dans le même temps les vertiges qui l’accompagnent ! »
On s’y sent bien, équilibré par un balancier
Conforter mon envie de continuer à écrire
« Je me suis inscrite aux ateliers d’écriture de la Maison de l’Écriture en espérant enfin écrire pour le plaisir et non plus uniquement pour le travail. Bien plus que cela, les ateliers m’ont permis de coucher sur le papier des choses que je ne me serais jamais cru capable de dire mais aussi, et surtout, d’explorer des recoins de mon imagination que je ne connaissais pas encore. Les retours bienveillants ont conforté mon envie de continuer à écrire. »